Participez à des ateliers gratuits de danse-thérapie !

La danse, le mouvement, offrent des espaces d’expériences d’être et de redécouverte de son propre langage, permettant une réaffirmation de soi et une ouverture à l’autre différente !

Les ateliers de danse-thérapie sont des sessions collectives qui allient mouvement, musique et expression corporelle pour favoriser le bien-être physique, émotionnel et mental. Ces ateliers s’appuient sur la danse et le mouvement libre comme outils thérapeutiques pour explorer ses émotions, améliorer sa conscience corporelle, libérer des tensions et renforcer son équilibre intérieur.

Conçus pour être accessibles à tous·tes, ces ateliers ne nécessitent aucune expérience préalable en danse. Ils permettent aux participant·es de se reconnecter à eux-mêmes dans un cadre bienveillant, en transformant le mouvement en un moyen d’expression et de guérison.

Danse contemporaine, danse contact impro, conscience corporelle, relaxation, improvisation guidée

Atelier animé par Nadège Bonneton

“Médecin, danseuse et accompagnante en danse , j’anime des ateliers de danse et expression depuis 2017. Animée par l’approche holistique de l’autre et du soin, ma pratique se nourrit de la rencontre humaine avant tout. Danseuse contemporaine depuis mes 15 ans, formée à la danse thérapie à l’accompagnement par le mouvement, ces pratiques s’intègrent progressivement dans mon activité . Les ateliers s’orientent surtout sur la recherche d’un chemin vers soi et sa créativité, un langage poétique propre à chacun, sans aucun niveau requis”.

Dates des prochains ateliers :

Le guide « Etudiant·es, Mieux se loger et vivre à Paris » est disponible !

Retrouvez toutes les informations sur les dispositifs d’accès à un logement, les aides possibles et les bons plans pour bien vivre à Paris dans l’édition 2024-2025 du guide « Etudiant·es, “Mieux se loger et vivre à Paris”.

Où se faire dépister à Paris ?

Le dépistage des infections sexuellement transmissibles (IST) est essentiel à la santé et à la santé sexuelle. Autrefois dénommées Maladies sexuellement transmissibles (MST), les infections sexuellement transmissibles désignent les infections pouvant être transmises lors de relations sexuelles. Les infections sexuellement transmissibles (IST) les plus fréquentes sont la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose, mais également l’hépatite B, le papillomavirus humain (HPV) et le VIH . Ces infections ne sont pas toujours symptomatiques et peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé, la sexualité, la fertilité et sur la santé des enfants lorsqu’elles touchent des femmes enceintes, il est important de les prévenir et de les dépister.

  • Le dépistage est le seul moyen de savoir si vous êtes porteur d’une IST
  • La fréquence du dépistage dépend de votre situation
  • Un dépistage est recommandé au moindre doute.
  • Se faire dépister, c’est prendre soin de sa santé

Même si on se protège, il est important de se faire dépister régulièrement quand on plusieurs partenaires.

Certains événements sont de bonnes occasions de se faire dépister :

  • commencer ou arrêter une relation amoureuse
  • décider de ne plus utiliser de préservatif
  • revenir d’un voyage durant lequel vous avez eu des relations occasionnelles
  • avoir le projet de concevoir un enfant
  • penser que l’on a été exposé

Les préservatifs internes et externes offrent une protection efficace contre les infections sexuellement transmissibles et sont un moyen de contraception. Ils sont gratuits en pharmacie pour les moins de 25 ans et pour toutes et tous sur présentation d’une ordonnance. Il existe aussi des vaccins contre trois IST (les virus des hépatites A et B et certains HPV responsables de cancers).

Où se faire dépister ?

L’offre de dépistage publique et gratuite est importante avec plus de 10 Centres gratuits de dépistage et diagnostic (CeGIDD) et 24 centres de santé sexuelle à Paris. De nombreuses associations de terrain sont également impliquées dans le dépistage avec des actions très innovantes au plus près des populations.

Dépister et prévenir le VIH

Le VIH est le virus responsable du sida. Il se transmet par le sang et les relations sexuelles. La seule façon de savoir si on est infecté par le VIH est de faire le test. Il est donc fortement conseillé si vous ne l’avez jamais fait. Pour dépister le VIH, vous pouvez vous adresser à un centre de santé sexuelle ou à un centre gratuit d’information et de dépistage et de diagnostic (CegiDD).

Il peut être nécessaire de répéter le test régulièrement, notamment si vous avez des partenaires occasionnels.

  • tous les trois mois si vous êtes un homme et avez des rapports sexuels avec d’autres hommes.
  • tous les ans si vous êtes originaires de pays à forte prévalence de l’infection à VIH notamment d’Afrique subsaharienne et des Caraïbes, ou les usagers de drogues par injection (UDI).
Sida Info service

Les préservatifs offrent une protection efficace contre le VIH et les infections sexuellement transmissibles. Ils sont aussi un bon moyen de contraception et sont gratuits en pharmacie pour les moins de 25 ans et pour tous sur présentation d’une ordonnance.

Qu’est-ce que la prévention combinée du VIH ?

La prévention combinée repose sur trois grandes stratégies :

L’utilisation des préservatifs

La promotion du dépistage, dont les tests diagnostics rapides (TROD ou autotest) et le dispositif VIHtest qui permet une offre de dépistage du VIH sans frais, sans ordonnance et sans rendez-vous dans tous les laboratoires d’analyses médicales pour les personnes majeures et bénéficiant d’une couverture maladie.

Les avancées des traitements : TASP, PrEP, TPE

Qu’est-ce que la prophylaxie pré exposition (PreP) ?

La prophylaxie pré-exposition (PrEP) est un médicament qui protège du VIH. Il peut être prescrit aux personnes séronégatives selon leur niveau d’exposition.

La prophylaxie pré-exposition (PrEP) s’adresse aux personnes qui ne sont pas infectées par le VIH, en particulier dans des groupes ou des situations de forte exposition.

Aujourd’hui, le médicament prescrit pour la PrEP peut être prescrit par un médecin de ville ou hospitalier ou dans un centre gratuit d’information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD)et nécessite un suivi médical régulier.

Qu’est-ce que le traitement post-exposition (TPE) ?

Le traitement post-exposition (TPE) est un traitement à prendre en urgence pour éviter une contamination par le VIH. Le TPE doit être pris au plus tôt, de préférence dans les 4 heures après l’exposition et jusqu’à 48 heures.

Plus le TPE est pris tôt, plus il est efficace. En cas d’exposition au VIH, rendez-vous le plus vite possible aux urgences d‘un hôpital.

Qu’est-ce que le ” Treatment as prevention” ou TasP ?

Aujourd’hui, des médicaments permettent de ne pas transmettre le virus et de vivre avec le VIH longtemps et en bonne santé.

Les traitements contre le VIH rendent la charge virale indétectable (la quantité de virus dans le sang devient minime). Le traitement comme moyen de prévention ou TasP permet à la personne séropositive de ne pas transmettre le VIH par voie sexuelle à son partenaire séronégatif. Un couple peut avoir des enfants non infectés par le VIH quand l’un des partenaires est séropositif, sous traitement avec une charge virale indétectable.

Qu’est-ce que VIHTEST ?

Le dispositif VIHTEST est une offre de dépistage du VIH sans frais, sans ordonnance et sans rendez-vous dans tous les laboratoires d’analyses médicales pour les personnes majeures et bénéficiant d’une couverture maladie. Le test est la seule façon de savoir si vous êtes infecté par le VIH. N’hésitez plus et faites-vous dépister !

Le VIHTEST permet de prendre en charge plus rapidement les personnes touchées et de proposer un traitement dans les meilleurs délais.

Si vous avez plus de 18 ans, vous pouvez aller dans un laboratoire d’analyse médicale:

  • gratuitement
  • sans ordonnance
  • avec votre carte vitale ou un numéro de sécurité sociale
  • sans rendez-vous

Le test réalisé par votre biologiste est un test classique sur prise de sang parfaitement fiable pour toute exposition datant de plus de 6 semaines. Le test est pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie. Vous n’avez rien à payer ni à avancer au laboratoire !

Ensemble, mettons fin à l’épidémie du VIH ! En faisant un VIHTEST vous contribuez à l’effort collectif d’atteindre zéro nouvelle infection par le VIH d’ici 2030.

Où faire un VIHTEST ?

Que faire selon les résultats du test VIH ?

Un test négatif signifie que vous n’êtes pas infecté·e par le VIH, si votre dernier rapport sexuel sans protection date de plus de six semaines.

Dans le cas contraire, refaites le test dans un mois et demi pour vérifier le résultat.

Un test positif signifie que vous êtes peut-être porteur du VIH. Un test de confirmation et un test de contrôle sont nécessaires pour confirmer le diagnostic.

Aujourd’hui, des médicaments permettent de vivre avec le VIH longtemps et en bonne santé. Il est très important que vous ayez rapidement accès à un suivi médical et à un traitement.

Dans le cadre du dispositif VIHTEST, votre biologiste médical vous proposera un rendez-vous à l’hôpital de votre choix dans les 48 heures, en lien avec votre médecin traitant si vous le souhaitez.

Le médecin hospitalier vous prescrira un traitement antirétroviral adapté à votre situation. Généralement simples à prendre et bien tolérés, ces médicaments arrêtent la progression de l’infection, protègent le système immunitaire et empêchent la transmission du virus lors des relations sexuelles.

On ne guérit pas du VIH pour le moment, mais on peut vivre en bonne santé grâce aux médicaments.

Pour toute question

Vous pouvez contacter Sida Info Service au 0 800 840 800

Creation d’un nouvel outil contre les VSS: Safeprof

Oui, les violences sexistes et sexuelles existent dans tous les milieux, sur toutes les structures, sur tout type de victimes et par tout type d’agresseurs.

A l’Université, ont lieu des campagnes de prévention sur les violences entre étudiant·e·s, de plus en plus d’associations étudiantes sont formées ou poussées à être formé sur les violences sexistes et sexuelles.

Mais qu’en est-il des violences entre enseignants et étudiantes ?

Aucune campagne de prévention, pas de formation du personnels enseignants et administratifs et des violences sous évaluées voir niées.

C’est à partir de ce constat et de témoignages de victimes, avec l’appuie d’étudiantes et d’enseignantes que Nous Toutes a décidé de créer un outil qui permettrait de sensibiliser les étudiant·es et les enseignant·es.

A partir de quel instant, la relation académique entre un·e enseignant·e et un·e étudiant·e dérive t-elle en une relation pouvant devenir toxique voire dangereuse ?

La Cop1ne : la cantine solidaire contre la précarité étudiante

Des repas à 3 euros pour soutenir les étudiants et créer du lien !

Première cantine solidaire de l’association Cop1 et nouveau dispositif de lutte contre la précarité étudiante, la Cop1ne est un restaurant étudiant solidaire pour permettre aux étudiant·es et jeunes de – de 26 ans de dîner hors de chez eux à petits prix !

Gérée par les bénévoles, la Cop1ne propose des menus à 3 euros pour les jeunes et à 10 euros pour le grand public. Au cœur d’un quartier dynamique, elle vise à renforcer les liens entre les habitant·es et sera ouverte à tous·tes midi et soir, du lundi au samedi.

Adresse : 1 place Alice Guy, 75014 Paris

L’aide à l’installation dans un logement pour les étudiant·es (AILE)

L’AILE est une aide municipale au logement qui permet aux étudiant·e·s de faire face aux frais liés à leur installation, comme par exemple l’achat d’électroménager, de meubles, de matériels informatiques …

Présentation de l’aide à l’installation

L’accès au premier logement est un pas décisif vers l’autonomie. La Ville de Paris a donc mis en place un dispositif spécifique afin d’aider les étudiant·e·s qui vivent dans la capitale ; Aile : aide à l’installation dans un logement pour les étudiant·e·s. Elle est reconduite chaque année et est gérée par le CROUS de Paris. Un·e étudiant·e peut en bénéficier une fois, dans toute sa scolarité.

Cette prestation, d’un montant compris entre 500 et 1000 euros, doit permettre aux étudiant·e·s de faire face aux frais inhérents à leur installation comme l’achat de meubles, par exemple.

Qui peut bénéficier de l’aide à l’installation ?

Pour pouvoir bénéficier de cette aide municipale au logement (AILE), les étudiants doivent ainsi cumuler les conditions suivantes :

  • Être boursier-e sur critères sociaux / ou bénéficiaire de l’ASAA- Aide Spécifique Allocation Annuelle des Crous de Paris, Créteil et Versailles / tout bénéficiaire du repas à 1€ (boursier.ère.s ou non)
  • Être inscrit-e dans un établissement d’enseignement supérieur relevant des académies de Paris, de Créteil ou de Versailles
  • Être titulaire d’un contrat de location pour un logement parisien, signé entre le le 1er avril 2024 et le 31 mars 2025. Attention : HORS résidences universitaires conventionnées
  • Les étudiant-es en colocation éligibles à l’AILE doivent figurer sur le bail pour bénéficier de l’AILE. Attention : HORS résidences universitaires conventionnées.

L’AILE est exclusivement destinée à l’acquisition de matériel, mobilier. équipement (y compris informatique, téléphonique, numérique) nécessaire à l’installation dans le logement .

Comment bénéficier de l’aide à l’installation ?

Attestation sur l’honneur (à télécharger et à joindre impérativement au dossier de demande d’AILE).

Il suffit de télécharger le dossier accompagné des justificatifs suivants :

  • Copie de la notification de bourse définitive
  • Copie du bail sur Paris au nom de l’étudiant
  • Relevé d’identité bancaire ou postale
  • Attestation sur l’honneur indiquant les dépenses affectées (prévues par le règlement)
  • Copie d’un justificatif de domicile au choix (EDF, GDF, facture de téléphone fixe, contrat d’assurance)

Vous pouvez déposer votre dossier à cette adresse : depot-dossier.aile@crous-paris.fr

Le guide étudiant de Paris !

Le livre par les étudiant·es, pour les étudiant·es !

La Ville de Paris, à travers sa Maison étudiante, s’est intéressée à ce projet afin de porter le guide étudiant version Paris et vous donner toutes les astuces pour réussir au mieux vos années d’études et l’après.

Depuis longtemps, la Maison étudiante essaye de lutter contre le non-recours aux droits et ainsi éviter de passer à côté du bon plan ou du service public qui aurait pu changer la donne.

Ce guide est le fruit d’une collaboration intense entre l’équipe des éditions génépi, Rim Yehya, directrice de la Maison étudiante et son équipe (notamment Hamery De Melo et Damien Baloge) qui ont participé à la rédaction du livre .

Vous y trouverez 6 chapitres abordant l’ensemble des thématiques constituant la vie étudiante :

  • “Paris Ville Campus”, qui présente la vie étudiante dans la capitale ;
  • “Logement et Finance”, pour gérer son quotidien ;
  • “Universitaire et Professionnel”, afin d’optimiser ses études et sa carrière ;
  • “Prendre soin de soi”, pour maintenir son bien-être ;
  • “Vie sociale”, qui favorise l’intégration et les relations ;
  • “Déclaration administrative”, qui simplifie les démarches nécessaires

Bonne lecture !

Se loger et bien vivre à Paris : le guide étudiant

Encadrement des loyers dans le parc privé, dispositifs pour se loger, ressourceries, repas à petits prix ou accès aux soins… Découvrez tout ce qui est mis en place pour aider les étudiants à Paris !

Pour recenser toutes les aides et les bons plans à connaître lors de la rentrée universitaire 2024-2025, la Ville de Paris a publié le guide « Etudiant.es, mieux se loger et vivre à Paris ».

Celui-ci est disponible en version papier dans les universités et se consulte également en ligne !

Le guide « Solidarités » de l’été 2024 est disponible !

Y sont recensés les dispositifs d’aides, les associations, les lieux pour se laver ou se nourrir, etc.

L’édition été 2024 du guide « Solidarités » recense toutes les actions mises en place afin de répondre aux difficultés que les Parisiens et les Parisiennes peuvent rencontrer. Ce livret de 73 pages présente également les dispositifs fermés pendant l’été, ceux qui prennent le relais afin de garantir une continuité estivale et ceux qui sont déplacés pendant la période des Jeux olympiques et paralympiques.

En introduction du guide, des informations pratiques propres à cet événement international accueilli par Paris sont également renseignées : périmètres de sécurité, impacts sur les déplacements et la logistique, etc.

Ce guide permet à chacun :

  • de s’informer sur ses droits ;
  • de savoir où trouver le service adéquat ;
  • de bénéficier des dispositifs d’aide alimentaire ;
  • de mieux connaître les possibilités d’accès aux soins.

Il contient également les coordonnées des travailleurs sociaux qui se mobilisent au quotidien pour maintenir l’accès aux droits des plus démunis.

Où trouver le guide été 2024 « Solidarités » en version papier ?
Ce guide sera prochainement disponible gratuitement dans :

Ce guide sera prochainement disponible gratuitement dans :
les mairies d’arrondissement ;
– les associations et institutions spécialisées ;
les services sociaux d’arrondissement ;
les espaces parisiens des solidarités (ex-CASVP d’arrondissement) ;
les centres de santé ;
les espaces parisiens pour l’insertion ;
l’AP-HP ;
les PIMMS ;
– les maraudes de la Ville ;
– le Samusocial de Paris et les associations (la Croix-Rouge, le Secours populaire, FTDA, etc.).

Appel à projets : Aide alimentaire étudiante

L’appel à projets 2023-2024 étant clos, vous trouverez ici toutes les informations utiles pour le prochain.


L’appel à projets

La crise sanitaire a exacerbé la précarité des étudiant·e·s, notamment en termes de précarité alimentaire et de santé mentale, tandis que le coût de la vie étudiante continue d’augmenter. La Ville de Paris a réagi en finançant et coordonnant six associations proposant des distributions alimentaires ou des épiceries sociales et solidaires, ainsi que d’autres formes de soutien. Des enquêtes ont été commandées pour mieux comprendre cette précarité étudiante.

Cet appel à projets permettra de financer des projets associatifs ciblant spécifiquement les étudiant·e·s et les jeunes de moins de trente ans résidant à Paris ou étudiant dans un établissement d’enseignement supérieur de l’académie de Paris.

Pour quels projets ?

Les projets éligibles doivent répondre à deux axes :

  1. Aide pour les étudiant·e·s : l’aide alimentaire doit viser spécifiquement les étudiants ou les jeunes de moins de trente ans, résidant ou étudiant à Paris. Les dispositifs peuvent être organisés dans les établissements d’enseignement supérieur parisiens, mais doivent également s’adresser à un public plus large s’ils sont proposés par des associations universitaires.
  2. Lutte contre le gaspillage alimentaire et accès à une alimentation durable et de qualité : le projet doit offrir aux bénéficiaires un accès à une alimentation saine, équilibrée, à base de produits bruts et frais. Le projet doit favoriser l’utilisation de produits issus de circuits courts ou de l’agriculture biologique situés à moins de 250 kilomètres de Paris, ou encore la récupération d’invendus.

Les projets candidats doivent présenter leurs objectifs en matière d’alimentation durable dans leur dossier de candidature.

Les projets candidats peuvent proposer des projets variés, tels que la création de jardins partagés, la mise en place de cantines solidaires, la distribution de paniers alimentaires ou encore la sensibilisation à la nutrition et à l’alimentation responsable.

Les engagements de projets retenus

Les projets lauréats bénéficieront d’une subvention associative à partir de 1500 euros et d’un accompagnement de la Maison étudiante pour leur mise en œuvre.

Les structures portant le projet retenu devront assister à un webinaire de sensibilisation au sexisme et aux violences sexistes et sexuelles dispensé par le BVE et participer aux réflexions de la Ville sur la précarité étudiante.

Les associations devront contribuer à la mise en place d’un écosystème d’aide alimentaire coordonné par le bureau de la vie étudiante et s’engager dans la lutte contre la précarité alimentaire étudiante, un enjeu majeur pour la Ville de Paris et la communauté étudiante.

Comment candidater ?

La structure devra déposer sa candidature et les différents éléments sur Paris Asso. Un jury chargé de l’attribution des aides se réunira dans les semaines suivant la clôture de l’appel à projet. Sa composition sera déterminée annuellement par arrêté de la Maire et sollicitera différents services de la Ville, élus de la Ville de Paris, institutions.

Les structures porteuses de projet seront ensuite informées de la suite donnée à leur candidature.

Les éléments à fournir sur Paris Asso sont :

➡️ Le formulaire de candidature complété ;
➡️ Tout document de présentation complémentaire ;
➡️ Le budget prévisionnel de la structure et le budget prévisionnel du projet ;
➡️ Les statuts de l’association si la structure est une association ;
➡️ L’attestation de parution au Journal Officiel si la structure est une association ;
➡️ La liste des membres des instances dirigeantes de la structure ;
➡️ Les procès-verbaux des deux dernières assemblées générales ou conseil d’administration ;
➡️ Le dernier rapport d’activité ainsi que le compte de résultat et bilan afférent ;
➡️ Pour les associations concernées, si la structure est une association, le rapport général du commissaire au compte sur les comptes annuels ;
➡️ Le RIB de la structure.

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